En sixieme elle me prenait pour une autiste,la parole comme exercice,je m'en tirait bien.

et moi, je la prenait pour le concentré de ce que je n'avais pas, ses manieres de petite bourge pretencieuse juraient avec les miennes d'autiste decalée.

En verité,nous nous sommes rencontrées a cause de la larme d'une fille-fontaine.

et puis,rien.

Quelques centimetres apres, nos deux nom sur une meme liste.

Nous crumes venue la shoa,et puis,ça....indescriptible

une amitié peu commune, un amour si fort qu'il n'en est pas un.

On peut sentir se tendre le lien qui nous serre au moindre pas de chacune.

Quand on monte aussi haut,il faut s'attendre a descendre tres bas aussi.

ça tirraille et ça dechire

ça fait rire et ça fait vivre

ce n'est pas une passion,ce n'est pas de la haine, ce n'est pas du doute et de l'incomprehension.

c'est lire dans les lignes de l'autre mieux qu'en soi-meme.

et puis je sais pas comment ecrire ça