Mes gouffres immacules,peins d'ombres tiedes et poisseuses vogaient encore par dela la fumée vacillante.

Je suis encore morte.

Qu'on me montre la vie

Que je m'agite enfin pour quelque chose d'autre que les demons plasmiques,les sentiments transfuges et les forteresses chancelantes.

Il me faut de l'air

le mien est chargé,trop,beaucoup trop

il est lourd et collant,c'est une chape de plomb,un gout de fer,la preuve